Le Pôle France Elite domine les Boys à Terre Blanche
Depuis leur départ aux États-Unis pour intégrer leur université (Texas Christian University, Texas Tech et New Mexico), Julien Brun, Clément Sordet et Victor Perez n’avaient plus croisé les pensionnaires du Pôle France Boys. Leurs retrouvailles, cet après-midi à Terre Blanche, leur ont donné l’occasion de féliciter Nicolas Manifacier, vainqueur du Doral dans la catégorie des 16-18 ans, Julien de Poyen, battu en play-off par son pote, et Pierre Mazier, victorieux chez les 14-15 ans.
Mais, après les compliments, les joueurs du Pôle France Élite, leurs partenaires et les Boys se sont rendus sur le parcours du Château pour disputer des match-play sur neuf trous et même davantage jusqu’à ce que l’obscurité ne mette fin aux dernières parties.
Et, sur les fairways et les greens, les « Élite » n’ont fait aucun cadeau à leurs jeunes adversaires en remportant six des huit simples. Dans ce qui pourrait être prochainement les demi-finales du championnat d’Ormesson, Adrien Saddier a battu (1 up) Romain Langasque, et Florian Loutre, Pierre Mazier (2 up). Les « freshmen » ont été sans pitié pour les Boys : Julien Brun et Victor Perez ont dominé sur le même score (6/5) Joris Etlin et Julien de Poyen. Clément Sordet s’est imposé (2 up) face à Nicolas Manifacier. Christian Verrougstraete a battu Thomas Le Berre (2 up).
Mais les Boys ne sont pas repartis « fanny » de Terre Blanche. Deux d’entre eux ont gagné leur match : Paul Genestou aux dépens de Paul Barjon (1 up) et Julien Marot (1 up aussi) contre Mathieu Decottignies-Lafon.
« Dispensés » de match-play par les entraîneurs, Édouard Espana, Lionel Weber et Antoine Schwartz ont longuement travaillé leur petit jeu et leurs sorties de bunker, ou passé des tests de biomecaswing en compagnie de Jean-Jacques Rivet. Ils ont fini leur journée par une « pétanque ». À égalité, ils se sont départagés en « mort subite » sur un trou que s’est adjugé Lionel Weber.
Le stage du Pôle France Élite se poursuivra jusqu’à vendredi.
catherine lafon
5 janvier 2012 @ 12:32
Sauf que Mathieu Decottignies-Lafon ne joue pas avec ses clubs mais avec les barres à mine de son pro :-) :-) :-) Merci Air France !! lol