Cyril Bouniol débutera sa saison sur le Challenge Tour
The Barclays Kenya Open au Karen Country Club (du 6 au 9 mars 2014)
Après l’hiver polaire vécu par les Texans, Cyril Bouniol a retrouvé le soleil et la chaleur au Kenya, sa première destination golfique de la saison 2014.
Cyril Bouniol apprécie la chaleur du Kenya après plusieurs semaines de neige et de froid au Texas.
N’ayant pas décroché sa carte du Web.Com Tour, le Tarbais n’entrait pas dans le champ de joueurs des cinq premiers tournois du circuit américain organisés en Amérique du Sud. Possédant en revanche, une « full » catégorie sur le Challenge Tour, il a décidé de venir en Afrique pour disputer son premier tournoi, le Barclays Kenya Open : « Il m’a semblé judicieux de débuter la saison sur le Challenge Tour et de voir comment ça se passe, indique-t-il. J’ai donc l’intention de jouer le Barclays Kenya Open puis, au début du mois d’avril, le NH Collection Open, un double badge organisé à Sotogrande. D’ailleurs, je pense participer à plusieurs épreuves du Challenge Tour et, en fonction de mes résultats, j’aviserai. Pour le moment, l’objectif est de renouer avec la compétition et de retrouver le plaisir sur les parcours. »
Les abondantes chutes de neige tombées sur le Texas et le froid ont fortement perturbé la préparation de Cyril Bouniol : « Je me suis bien couvert et je suis allé m’entraîner, un vrai guerrier, plaisante-t-il. Les jours où les golfs étaient fermés, j’allais dans une salle taper des balles dans un filet. Même si ce n’était pas évident, j’ai bossé dur. J’ai hâte de profiter des superbes conditions climatiques du Kenya pour me régaler et reprendre la compétition. »
À l’occasion de ce Barclays Kenya Open, il retrouvera quelques amis parmi lesquels Jérôme Lando Casanova et Édouard España, l’un de ses anciens partenaires en équipe de France avec lequel il avait remporté la victoire au championnat d’Europe en 2011 au Portugal. La dernière fois qu’ils s’étaient croisés, c’était en novembre dernier au PGA Catalunya lors de la finale des cartes européennes dont il ne garde pas, ni l’un ni l’autre, un très bon souvenir.
