Les Français repartent à la conquête de la « Carlhian »
Internationaux de France cadets, trophée Michel Carlhian, au golf du Médoc (du 17 au 21 avril 2014)
Qualifiés pour les seizièmes de finale des Internationaux de France cadets l’an dernier au Touquet, Pierre Mazier, Joris Etlin, Paul Elissalde, Edgar Catherine et Victor Veyret figureront, demain, au départ de cette nouvelle édition de la « Carlhian » en compagnie de cinquante-trois autres Français avec le secret espoir de succéder au palmarès à Romain Wattel, vainqueur en 2009 aux dépens de Matteo Manassero. La loi du nombre leur sera-t-elle favorable ?
Blessé à deux reprises au cours des six derniers mois, Pierre Mazier est revenu à la compétition en mars à l’occasion du Grand Prix du Cap d’Agde. Depuis, le pensionnaire du Pôle France Boys a multiplié les entraînements et les parcours pour retrouver son meilleur niveau avant les grandes échéances.
Arrivé lundi au Médoc, il a reconnu le parcours avec ses partenaires du Pôle puis effectué une seconde reconnaissance aujourd’hui : « Il est parfait, affirme-t-il. Il est même en meilleur état encore que pour le Grand Prix Schweppes car il fait très chaud et il y a du vent ce qui a rendu les greens encore plus fermes. Physiquement et mentalement, tout va bien. Je ne souffre plus du tout de mon poignet que je prends soin de bien l’échauffer avant chaque partie. Mon jeu est encore un peu irrégulier. »
Eliminé en huitièmes de finale l’an dernier, le Racingman ne trouve aucune raison particulière aux échecs des Français lors des quatre compétitions précédentes : « Peut-être que celle-là va nous sourire, conclut-il. Il y en a pas mal en forme. »
Huitième-de-finaliste, lui aussi, Joris Etlin ne joue pas bien depuis quelque temps. Il a entamé un gros « chantier » technique sur son swing et n’a pas encore assimiler les changements opérés dans tous les secteurs de son jeu. « La « reco » d’aujourd’hui a été très moyenne, confie-t-il. Je vais essayer de trouver quelque chose pour stabiliser un peu tout ça et passer le cut. » Peut-être que ces Internationaux de France produiront un déclic qui débloquera la situation.
Licencié à Biarritz, Paul Elissalde a disputé de nombreuses compétitions sur ce parcours du Médoc. Il en connaît tous les pièges. Pour mettre toutes les chances de son côté, il a récupéré le carnet de parcours utilisé par son frère pour le Grand Prix Schweppes.
Même si son golf n’est pas très performant en ce moment, le Biarrot ambitionne une bonne place à la qualification : « Un top 5 et après aller le plus loin possible en match play », précise-t-il.
Ayant perdu confiance, surtout au driving, en ce début de saison, Victor Veyret a beaucoup travaillé techniquement avec Cyril Gouyon et mentalement avec Jean Fournier. « Mais, là, ça va mieux, déclare-t-il. J’ai plutôt bien joué à la reconnaissance. C’est un vrai régal de putter sur de tels greens. Ils sont parfaits. Mon objectif est de me qualifier pour les seizièmes. Ce serait déjà bien. Après, c’est le vrai tournoi qui commence. »
Alexandre Daydou, Thomas Le Berre, Antoine Kuoch, David Ravetto, Antoine Auboin, Augustin Hole et de nombreux autres Français peuvent également prétendre atteindre les match play.
Geralyn
12 octobre 2016 @ 03:29
&qtt;oPlainuiff has identified no public interest that would be served by disclosure of the requested Form SS-5."No, no public interest here, unless the American people consider a soft revolutionary takeover of the entire polity by a Communist usurper to be of public interest.
simsimic
23 juillet 2017 @ 16:54
This remarkable phrase is necessary just by the way